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Où que tu ailles, tu t’emmènes toujours avec toi


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Une chose que j’ai apprise au fil de toutes ces années de voyages, c’est ceci : où que tu ailles, tu t’emmènes toujours avec toi.

J’ai vécu au Portugal, à Paris, à Berlin, à Londres, en Thaïlande — et j’ai voyagé partout en Asie.
Je l’ai vu chez moi et chez beaucoup de mes clients : déménager dans un nouvel endroit, parfois même une île tropicale, en espérant que ça règle tout.

Et oui, l’environnement compte.
La nature guérit.
La communauté soutient.
Mais ce n’est pas suffisant.

Parce qu’où que tu ailles, tu t’emmènes toujours toi.

Tes schémas, tes habitudes, tes parts blessées, tes désirs profonds.

J’ai vu des clients et des amis expatriés qui réalisaient enfin leur rêve — s’installer sur une île paradisiaque — et qui, après quelques mois, se retrouvaient à nouveau seuls, stressés, inquiets ou déconnectés.

Parce que le lieu avait changé, mais à l’intérieur, rien n’avait encore bougé.

Pour moi, comme pour beaucoup, voyager était nécessaire.Quitter ma zone de confort, quitter mon pays, lâcher toutes les identifications… ça m’a aidée à trouver ma vérité.

J’ai utilisé ce temps pour travailler profondément sur moi-même, car oui, après quelques années, j’ai réalisé que je m’emmenais toujours avec moi.

Mais il n’y a pas d’endroit parfait.

Chaque choix a ses contrastes.

La vie sur une île a ses problèmes d’île.
La vie en ville a ses problèmes de ville.
Être célibataire a ses défis, être en couple en a d’autres.
Pas d’enfants = un type de défi.
Des enfants = un autre.

La vraie question est : quels contrastes es-tu prêt·e à accueillir en ce moment ?

Et à quel point te connais-tu, pour choisir les ressources dont tu as besoin autour de toi — famille, nature, art, musique, danse, guérison, communauté…

Parce qu’au final, où que tu ailles, tu t’emmènes toujours avec toi.

Avec amour,

Laeti



 
 
 

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